Il avait promis
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le pouvoir d'achat et
la baisse des impôts
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D'une certaine façon, le Président a tenu ses promesses. Il a aménagé le bouclier fiscal avec un joli paquet du même nom pour quelques privilégiés et fait payer sa politique au plus grand nombre.
Il ajoute :
une taxe sur les mutuelles
une taxe de 1,1% sur tous sur les revenus dits du capital ( pour faire plaisir à la Gauche )
Sous le prétexte de salaires de
base peu encourageants, dans sa grande générosité,
le gouvernement fait financer aujourd'hui la remise au travail par
l'impôt... c'est le RSA
L'hyper-président d'un Etat omniprésent fait une sorte de cadeau à l'employeur.
Dans un système inversé, en grande contradiction avec l'économie libérale, ce n'est plus l'économie de l'Etat mais le contribuable qui maintenant paye le travail sans être intéressé au bénéfice de l'entreprise.
Il peut y voir un encouragement à
ne plus augmenter le SMIC dont on peut s'interroger sur le sens et le devenir.
Les bonnes intentions risquent d'avoir
des effets pervers :
http://www.marianne2.fr/RSA-les-effets-pervers-d-une-reforme-consensuelle_a90616.html
Il faut déjà, comme l'écrit Le Figaro toujours bien renseigné, se préparer encore à payer plus " sans compter les éventuelles petites taxes nouvelles " :
La France Sarkosyenne
enrichit le salarié par l'impôt !.
A suivre !
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oOo