Horreur !

Un "corbeau" menace le  Président français

qui porte plainte

http://www.lepost.fr/article/2009/02/17/1426865_menaces-de-mort-nicolas-sarkozy-depose-plainte.html

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La lettre a été publiée par Le Monde.fr : http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/03/04/le-texte-de-la-lettre-de-menaces-envoyees-aux-personnalites-ump_1163055_823448.html#xtor=RSS-3208

Après 48 heures de garde à vue, un suspect est remis en liberté : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/03/06/01016-20090306ARTFIG00273-lettres-de-menaces-le-suspect-remis-en-liberte-.php

le corbeau s'active toujours... et de nouvelles menaces atteignent ministres, élus et responsables de médias. 

Si la chose n'est pas un montage visant à détourner l'attention trop orientée sur les difficultés gouvernementales, les prévisions de Nostradamus, selon une publication de Le Post, atteignent un niveau exceptionnel de gravité : http://www.lepost.fr/article/2009/02/04/1412081_sarkozy-1er-la-fin-de-son-mandat-et-sa-mort-prevue-comme-celle-predite-a-henri-ii-concordances-troublantes-entre-ces-deux-monarques.html

A la fin de l'article on lit :

"Fin de règne :

Henri II : lors de son décès le 20 juillet 1559, suite à son combat tel que l’avait décrit Nostradamus ;

Sarkozy 1er : en mai 2009, si les prévisions de Nostradamus en ce qui le concerne sont confirmées, comme celles d’Henri II."

Michel de Nostredame, qui s'est distingué par ses contes d'apothicaire en forme de prophéties obscures sur la marche du monde, impressionne encore puisque ses écrits sont à l'origine de plus de dix mille ouvrages.

Pour rassurer les plus crédules, il faut rappeler que le pire n'est jamais sûr.

Oyez braves gens, comme le Président l'a déclaré :

Les mêmes causes ne produisent plus les mêmes effets.

Ouf !

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Comments

[sylvie boussand]

Si M. le Président : quand les politiques dérapent, ce sont toujours les citoyens et contribuables qui payent les pots cassés, et ça, depuis des années. Responsables mais pas coupables ? Certes, puisqu'en politique l'amnésie et l'amnistie vont souvent de pair. Alors, prouvez-nous le contraire : quand vous dérapez, tirez-en les leçons et n'hésitez pas à remettre votre démission, nous pourrons peut-être envisager de l'accepter !
A propos, comment va M. Pérol ?