Marginalisé

François Hollande

isolé en Syrie

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Devant la résistance de Daech et ses 30 000 volontaires étrangers venus renforcer ses forces, Américains et Russes prennent contacts pour des discussions tactiques afin de faciliter le déploiement de leurs forces.

Même si Obama et Poutine ne partagent pas le même projet sur l'avenir d'Assad, l'un et l'autre sont prêts à concentrer leurs forces sur celle de l’E.I devenu menace à l'échelle mondiale.

Avec un président américain qui se détourne de l'Arabie Saoudite, les USA sont «prêts à travailler avec toutes les nations, y compris la Russie et l'Iran».

Cette stratégie nouvelle va à l'encontre de celle de François Hollande devenu l'ami des royaumes sunnites. Les leçons de démocratie du présidant français sont oubliées devant les théocraties et leurs politiques ambiguës au bénéfice des pétrodollars qui viennent secourir une économie mise à mal par plus de trois ans de socialisme doctrinaire.

Cette position explique-t-elle l'entêtement du président français à vouloir « détruire » Assad ?

Vladimir Poutine, non sans ironie, se plaît à rappeler quelques principes de base que ne renierait pas un esprit démocrate : Lorsqu'on n'est pas soi-même ressortissant d'un pays, on n'est pas qualifié pour en choisir ses dirigeants.

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Pour une majorité de français

l'ancien secrétaire du consensus

reste le président du malentendu

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