Pigeon des villes

A chacun sa recette mais pour être trivial :

Il faut se les farcir !

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Quand ils s'installent, ils sont fidèles et sédentaires et peuvent avoir jusqu'à 9 nichées par an pour environ 12 jeunes par couple qui s'établissent à proximité de leur lieu de naissance.

Ils animent  les places et donnent aux quartiers anciens un caractère nostalgique, les pigeons sont détestés par les uns et choyés par les autres en dépit d'une cohabitation parfois difficile.

L'acidité de leurs déjections est connue pour être responsable d'une forte dégradation des bâtiments. Les parasites qui les habitent sont nombreux, les risques d 'ornithose et de salmonellose ne sont pas à exclure et les fientes, avec une capacité allergène, représentent un risque pour la santé des personnes sensibles.

A titre d'exemple voici, au lendemain du nettoyage, l'état d'un trottoir bien connu de la municipalité : celui de la maison de Coeur de cité.

C'est sur ces lieux, après la rentrée des classes et accompagnés par leurs professeurs, que passeront de nombreux enfants.

Pour préserver la façade encore trop négligée du bâtiment et améliorer l'hygiène du trottoir dont elle est responsable, des solutions s'offrent à la municipalité. Les adjoints en charge de la culture, de l'hygiène et de la voirie, madame la maire, n'ignorent pas que les picots anti pigeons sont efficaces.

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Devant une nécessité évidente, la municipalité de Laure Déroche

saura-t-elle se montrer plus

participative

?

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oOo