Visage de Roanne

Un jardin en destruction

sous la politique de

Laure Déroche

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•  Avant les élections :

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Un sourire devait inspirer confiance pour prétendre vivre mieux notre ville  avec un maire qui ne déciderait pas seul et promettait de prendre en compte les attentes de la population !

• Après les élections :

 

L'autorité s'affiche et s'exerce, les démissions sont nombreuses et à tout niveau dans l'entourage du maire,  c'est la contestation en interne, les grèves municipales, l'approximation, les insuffisances, le non-dit.

Un exemple : la place Populle 

2009 : les Roannais s'expriment à la demande de madame la maire sur l'usage de l'unique place verte du centre-ville :

            

 Les Roannais la veulent boisée, un lieu calme et de détente et ils montrent, nombreux, qu'ils utilisent ainsi cette place historique et deux fois centenaire.

Pourtant, oubliant les promesses de campagne, celle qui fait métier de maire et n'habite pas à Roanne, décide. Sans jamais en avoir fait prendre la décision en conseil municipal, elle transforme la place Populle en une place d'activités souvent bruyantes et polluantes :

                                 

                                  

 
                                  

    Pour cette place incluse dans le projet Coeur de cité :

• Elle prévoit d'imperméabiliser une partie de la surface pour organiser régulièrement des activités commerciales, ce qui a valu d'importantes fouilles à la charge du contribuable pour un piètre résultat.

• S'écartant du dossier de marché initial, elle prend une autre partie de l'espace pour déplacer le parking d'angle Nord à l'angle Sud opposé.

• Elle réduit les plantations pour en faire, comme à Roanne plage, un solarium.  

Il est loin le temps où les candidats souhaitaient, sur des lieux plus appropriés, redonner vie à la place de la Loire comme à la rive du fleuve, c'était le temps des promesses ... celui d'une campagne électorale au cours de laquelle ils ont fait le tour de la ville en bus, puis, élus, ont perdu la mémoire.

•  Avant même qu'une manifestation prenne place, la population doit maintenant se satisfaire de cohabiter avec des barrières disposées en attente une semaine avant l'évènement imposé. 

  
   

  

Une curieuse conception du domaine public :

Comme un élu qui ne vit que de ses mandats, Laure Déroche pressent-elle pour demain quelques difficultés d'intégration dans la société civile ?

Avec la tentative d'une pêche aux voix pour essayer de durer, elle fait usage de la place Populle comme d'une propriété privée du domaine public qu'elle remet régulièrement, à l'exemple d'une salle municipale, à la disposition des associations qui en disposent alors dans leur désordre et dans le bruit.

Avec un usage qui ressemble à un détournement du bien public, c'est aussi, avec médiocrité, la culture qu'on dégrade !

Adjoints et conseillers ont leur part de responsabilité

jusqu'où  laissera-t-on faire ?

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Les électeurs sauront apprécier !

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oOo

Comments

[Charles]

Oui on a l'impression que le maire s'approprie la ville pour la livrer aux associations amies.

[Sitelle]

Effectivement la place ne doit pas être un outil de propagande aux mains du parti socialiste représenté par Laure Déroche.Les Roannais doivent en récupérer l'usage dans sa forme traditionnelle.

[Marc.County]

Si le maire de Roanne continue de la sorte, je sais qu'il perdra des voix à la prochaine élection municipale. On ne traite pas une ville de cette façon sans en supporter le contre-coup

[Demetrios]

Les Roannais ont été trompés c'est facile à constater. La municipalité qui prétendait évacuer les véhicules du centre-ville a au contraire décidé d'ouvrir une deuxième file de stationnement sur la place et accepte les véhicules le week-end le long des allées pour les manifestations des associations qui lui sont sympathiques.
les professionnels de la politique appellent cela une contre-vérité quand la simplicité du langage courant les effraie.

[Chris]

C'est la lutte des classes à la façon Déroche-Riamon et la punition pour un quartier qui ne vote pas en majorité pour la gauche, de la pure politique revancharde