CGT
Retour aux
sources
*
Le syndicat révolutionnaire
La CGT et son allié converti FO mènent un combat idéologique qui pénalise l’économie française. En refusant de s’adapter à l’évolution de la société les syndicats largement financés par les subventions de l’État, c’est à dire l’impôt des français, recherchent à freiner la chute de leurs adhérents et à imposer au pré-communisme latent une doctrine plus radicale plus en harmonie avec le Front de gauche, Nuit-debout et EELV.
Le sénateur socialiste Didier Guillaume a dénoncé sur Europe 1 les affiches de la CGT contre les forces de l'ordre et les actes antirépublicains tandis que Alternative Police réclame une action en justice : http://www.alternativepn.fr/medias/files/19-04-2016-affiche-cgt-1.pdf
Aujourd'hui la question est de savoir si en bloquant l’économie nationale une minorité syndicale agissante (6%) peut imposer sa volonté dans un pays qui se veut démocratique.
La CGT qui est en mesure de mettre le pays à feu pour faire plier François Hollande est-elle légitime ? La note de la perte économique s’allonge de jour en jour au gré des manifestations et des blocages.
Les syndicats reçoivent annuellement plus de 30 millions d’euros depuis 2015 et par la bonne grâce de Michel Sapin : http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sophie-coignard/sapin-les-syndicats-lui-disent-merci-26-11-2014-1884519_2134.php
Si le Pouvoir qui est aujourd’hui désemparé par la rébellion de la gauche syndicale qui l’a porté à l’Elysée, il a les moyens de mettre un terme aux excès syndicaux des électeurs supposés qui finissent par lui échapper : Les toucher là où ça fait mal en faisant une double et salutaire action
-
les assécher en stoppant dans un premier temps leurs subventions à la hauteur des pertes économiques occasionnées
-
voire totalement pour participer à l’effort de justice sociale tant proclamée.
*
Les français peuvent-ils à la fois financer les syndicats
et subir les contraintes des désordres qu’ils installent ?
.
oOo