Krach bancaire ?

Un gouvernement

sur-optimiste

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Pret à chanter « Tout va très bien Madame la Marquise »

 En août 2015 François Hollande et Manuel Valls montraient un optimisme décontracté quant à la crise des marchés financiers qui pointait en Asie et menaçait le monde économique.

• «L'économie mondiale est suffisamment solide pour avoir des perspectives de croissance qui ne sont pas seulement liées à la situation en Chine», déclarait François Hollande.

• Cela n'ira «pas au-delà de quelques dixièmes de points de PIB à ce stade» affirmait Manuel Valls.

Et pour renforcer ces bonnes paroles, l'exécutif promettait des baisses d'impôt … si la croissance reprenait.

 Autre façon de penser : Dans le même temps,  le chancelier de l'échiquier britannique prenait des dispositions pour répondre à un ralentissement mondial en reconnaissant que «Tout le monde est concerné par la situation asiatique».

Avec le ralentissement de l'économie mondiale qui inquiète également la présidente de la Fed, un Krach bancaire de « grande ampleur » est à craindre depuis la baisse des cours du pétrole et des matières premières. Les titres des groupes parapétroliers ont perdu 84 % de leur valeur en six mois.

Le souvenir de Lehman Brothers commence à hanter les esprits, les banques italiennes ont perdu 60 % de leur valeur depuis le début de l'année et la Deutsche Bank essaie de rassurer quant au remboursement de sa dette après une perte de 6,8 milliards d'euros.

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Les Français se souviennent

du nuage de Tchernobyl

arrêté à la frontière

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oOo