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venividipolitis
1 janvier 2016

Vœux de Hollande

Après quatre années de

chômage record

se représenter en 2017

*

avec le même objectif 

Pour s'accrocher à l’Élisée, celui qui avait perdu du poids, qui s'était coloré les cheveux et posait façon Mitterrand, parce que disait-il « le changement  c'est maintenant » : https://www.youtube.com/watch?v=aRBGtSzv4Pc doit constater qu'il a échoué.

Le déficit n'est pas maîtrisé, le chômage s'accroît d'année en année, la dette augmente, les réformes territoriales n'ont pas produit les économies promises et le nombre d'élus n'a pas été réduit.

A chaque élection le PS est sanctionné !  Mais, pour espérer pouvoir se représenter selon les critères qu'il s'est lui-même fixé, le Président du changement permanent utilise quelques atouts discrets :

  • Évaluation statistique du chômage modifiée par Pôle emploi.

  • « Un plan massif de formation des demandeurs d'emploi »

  • Service civique généralisé

Après les emplois jeunes et emplois d'avenir, les nouvelles mesures, façon énarque, sont dignes des méthodes soviétiques : « Je fixe l'objectif qu'aucun apprenti ne soit sans employeur et qu'aucun employeur ne demeure sans apprenti ». Paroles, paroles, les français connaissent la chanson !

 En décrétant l'apprentissage de masse, cela ressemble à une méthode socialiste qui vise simplement à modifier la présentation des chiffres. Quand seul le carnet de commandes permet d'embaucher, il conviendrait, pour les PME, de réduire les taxes plutôt que de proposer comme en agriculture d'augmenter les prix  (production porcine) !

La rénovation des bâtiments, au nom de la « croissance verte » produirait du travail et naturellement de la TVA dans une économie en équilibre mais en l'imposant c'est un affaiblissement du pouvoir économique que l’État fera encore subir aux français au nom de la norme.

Avec la remontée des taux d'intérêt qui s'amorce et le ralentissement mondiale de l'économie, le gouvernement qui a refusé les réformes économiques attendues se trouve piégé par la dette qu'il accroît pour financer sa politique dite de réduction du chômage.

Le trompe-l’œil qu'il met en place pour des besoins électoralistes immédiats, met en péril l'avenir du pays dont l'enrichissement puise davantage sa source dans l'industrie que dans les services.

*

Mais, depuis Giscard d'Estaing,

les énarques qui gouvernent le pays

ne voient pas qu'ils mettent la charrue avant les bœufs

.

oOo

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