EELV, socialistes frondeurs et PCF
Les partis que François Hollande veut récupérer
suivent le chemin de la Grèce
avec Syriza.
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Jean-Luc Mélenchon, Marie-Noëlle Lienemann (PS), Pouria Amirshahi (PS), Pierre Laurent (PC) et Zoé Konstantopoulou se sont rencontrés à Paris au forum européen des alternatives organisé par le parti communiste.
L'objectif déclaré est de « travailler à de la convergence » contre « l'austérité ».
Alors que le parti Syriza cherche à réduire l'effort de remboursement de la dette nationale, il ne parvient pas à trouver un accord avec ses créanciers (l' Union européenne et le FMI) rendant plus difficile ses relations avec des investisseurs peu enclins à prendre le risque de racheter de la dette.
Le 5 juin, la Grèce doit rembourser 340 millions d'euro au FMI et 1,6 milliards sur l'ensemble du moi. Fera-t-elle défaut par des négociations sans fin avec le FMI qui lui a prêté 35 milliards ?
Une sortie envisageable de la zone euro se traduirait pour la Grèce par une situation financière aggravée par des questions juridiques, des conséquences négatives sur le système financier international et la reprise économique espérée.
Le risque encouru a été estimé pour l'Allemagne à 79,8 milliards d'euro et à 59,7 milliards pour la France c'est à dire de quoi aggraver nettement la situation économique actuelle.
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Les partis de gauche et EELV qui soutiennent Syriza
donnent aux français une piètre démonstration
de leur capacité à gérer l'économie.
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