Bientôt suisse

Le ciment

 réunit Lafarge et Holcim

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Mais le siège social du groupe passe en Suisse

  Écueil de la politique hollandesque ? Lafarge, société du CAC 40 vient de voir le cours de son action valorisé de 8,9 % mais, mauvaise nouvelle, le cimentier français, reconnu pour sa capacité d'innovation, cède la présidence au groupe au Holcim. Le siège de l'entreprise sera désormais basé en Suisse.

 Après SFR repris par Numéricable, menacé d'un contrôle fiscal par Arnaud Montebourg qui déclarait qu' « il va falloir que Patrick Drahi rapatrie l'ensemble de ses possessions et biens à Paris, en France », la délocalisation du siège d'entreprises se poursuit. Cette péripétie nouvelle constitue encore un pied de nez à la politique du ministre de Berçy, ex antimondialiste, chargé aujourd'hui de l'économie et du redressement productif.

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Quand le Président français n'aime pas les riches

 l'hémorragie guette le pays,

 il y a danger d'anémie

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Comments

[Silva]

Le siège de LafargeHolcim sera à Zurich. l'optimisation fiscale a pu donner des idées aux cimentiers. Arnaud Montebourg se fait discret sur le sujet mais le gouvernement devra rapidement réviser sa politique pour éviter que d'autres entreprises du CAC40 quittent la France.



Ah si j´étais riche

diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!

[Claude]

Ce n'est pas avec les rodomontades d'ARNAUD MONTEBOURG que l'on va donner envie aux entreprises d'investir en FRANCE.

Je ne comprends pas que HOLLANDE ai gardé ce rigolo dont les chefs d'entreprise se soucient heureusement comme d'une guigne mais dont les propos leur font choisir des solutions à l'étranger beaucoup plus pérennes que celles que l'on peut avoir en FRANCE.En effet, quelle confiance accorder à ces socialos en matière de stabilité fiscale ... Ca me rappelle Laure DEROCHE, heureusement défaite à ce jour : "Nous n'augmenterons pas les impots ..." nous connaissons la suite .

[lotariev]

La politique de François Hollande est désastreuse pour le pays, autant que l' a été celle de Laure Déroche pour la ville de Roanne. Depuis le 30 mars l'espoir local renait mais à l'échelle nationale les risques s'aggravent.