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venividipolitis
14 février 2014

hug

Accolade présidentielle

 à Carlos Diaz

 *

 La "NEP" façon french touch ?

    La courbe des défaillances d'entreprises marquerait selon la COFACE une stabilisation en 2014. A ce niveau, ce n'est pas un bon signe puisque l'année 2013 a été marquée par le record absolu de 63 452 défaillances, c'est à dire 5,3 % de plus qu'en 2012.

 Moins de deux ans après son élection, François Hollande est acculé à réviser des promesses intenables et à constater l'échec de sa politique dogmatique.

 Celui qui, en bon comédien, s'est teint les cheveux, s'est fait maigrir et prenait des attitudes mitterrandiennes pour attirer les voix de la gauche anticapitaliste, doit aujourd'hui se faire plus rond, plus souple. Parviendra-t-il, dans sa nouvelle attitude, à se défaire de la raideur des mains qu'il devra tendre en direction des créateurs d'emplois ?

Dans les circonstances désastreuses d'une économie française qui régresse lorsque celle de ses partenaires européens s'améliore, le Président nouvellement social-démocrate devait le reconnaître à San Francisco : « Il n'y a pas d'économie qui puisse vivre sans entreprise dynamique. Tout part de l'entreprise ».

 L'accolade médiatique à Carlos Diaz est un signe qui ne suffira pas à encourager les entreprises. Si Fleur Pellerin déplore officiellement « un goût du risque peu développé » en France, les entrepreneurs quant à eux dénoncent un climat trop contraignant qui décourage l'initiative et justifie des expatriations.  S'il veut rétablir la confiance, François Hollande devra corriger ce « bug ».

 *

La France qui s'ouvre aux communautarismes

en désintégrant sa culture

 saura-t-elle

 réintégrer ses français de l'étranger

 ?

 .

 oOo

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Commentaires
C
Il est tout à fait normal que les investissements en FRANCE diminuent dans ce pays où un patron qui réussit est un salopard qu'il faut absolument tondre fiscalement et où un patron qui échoue est soumis à l'opprobre de tous quelles que soient les raisons de son échec .<br /> <br /> Il faut aussi comprendre que la présence française d'un syndicat tel que la CGT est un véritable repoussoir ,ces gens là ne font pas du syndicalisme mais de la politique .
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