Incivilités à Roanne
Espace Populle
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Un espace de non-droit ?
Avec moins d'arbres pour faire une place "agréablement ensoleillée" et moins de calme pour être un espace d'activités, la place des Promenades, y compris ses abords, a pour caractéristique, dans sa configuration actuelle, de laisser exprimer l'outrancière autosatisfaction de madame la maire de Roanne.
Il est vrai que, loin du centre quand on ne vit pas dans la ville et qu'on ne la pratique pas, les incivilités qui constituent le lot quotidien qui pollue le voisinage et dérange les usagers, ne sont pas suffisamment significatives !
A les énumérer, la liste devient longue :
- Circulation de scooters et motos sur les espaces pour piétons (place, trottoirs et sens interdit)
- Espaces pour enfants de 2 à 5 ans squattés par de très grands adolescents
- Arbres utilisés pour uriner
- Arbres et arbustes à grimper
- Usage illicite de sonorisation
- Détritus abandonnés (cartons, bouteilles, plastiques, papiers ... )
Comme si cela ne suffisait pas, en l'abscence de surveillance municipale, le vandalisme s'installe :
- Panneaux détériorés
- Vitres et bouteilles brisées
- Pelouse artificielle brûlée
- Mobilier tagué, détérioré
- Manège forain vandalisé, bâche de protection lacérée
- Fontaine : baignoire à chiens et pataugeoire pour enfants
- Espace du voisinage visité y compris le parc de la sous-préfecture
Le personnel municipal d'entretien a grand mérite de continuer à oeuvrer pour tenter de maintenir les lieux en état lorsque la police municipale se distingue par une absence qui fait douter de son rôle de " Surveillance des voies, espaces publics, équipements publics".
Avec beaucoup plus de zèle, des agents spécialisés dans le contrôle du stationnement payant effectuent, quant à eux, un travail méthodique, régulier et très rentable pour la ville : des emplois qui rapportent !
Déposer une "prune" sur un véhicule en stationnement qui ne dérange pas le voisinage est de toute évidence plus rémunérateur que de réprimander les incivilités qui s'accroissent et contribuent à la dégradation du centre--ville et du cadre de vie.
Quelques témoignages parmi de nombreux exemples qui résultent de ce "vivre ensemble" façon municipalité Déroche :
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En centre-ville faut-il conclure par :
L'automobille Non !
Les incivilités Oui
?
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oOo