22 janvier
Les conséquences
d'un laisser-aller municipal
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Nettoyage du matin, chagrin !
Les vers s'enterrent, les verts se taisent !
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Faut-il attendre des réunions de quartier, que des observations d'habitants parviennent à madame le maire pour qu'elle soit informée et prenne conscience de l'état dans lequel sa politique laisse la ville ?
Trois semaines après la fête, la mairie cherche à redonner un visage acceptable à la place Populle. Les cabanes ont été enlevées et sur un sol gelé, des employés tentent de souffler les papiers et plastiques incrustés ou collés au sol.
Combien d'années faudra-t-il pour que se détruisent ceux qui restent ? La politique de loisirs s'accommode mal de la propreté durable. Les informations et conseils pour préserver la qualité de la nature semblent ne pas s'appliquer en ville à la place des Promenades.
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Parking du soir, désespoir !
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Le constat est récurrent : le si cher parking République construit par Nicolin est encore trop inoccupé !
Comment peut-on rentabiliser un projet si mal ficelé ? En baissant davantage les prix pour le rendre plus accessible au plus grand nombre ? peut-être !
Mais certainement pas en prolongeant contre nature (dans tous les sens du mot) celui de la place des Promenades. Certainement pas non plus, par un laisser-faire, qui laisse les véhicules s'aventurer directement sur la place , parfois sur les pelouses comme ce blog l'a déjà montré et se risquent même à la traverser lorsque le raccourci est possible !
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En évitant de dégrader une place, la mairie respecterait : ses administrés, en utilisant au mieux le fruit de leurs impôts, et son personnel, en l'affectant à des tâches plus productives.
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Madame le maire qui projette de rénover le centre-ville devrait le fréquenter pour connaître les conséquences de ses choix et savoir ce qu'elle devrait éviter.
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oOo