SOS de campagne
Campagne de commémorations
ou
campagne présidentielle ?
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Le Pen avait choisi l'image de « la Jeanne » longtemps enseignée, y compris à l'école de la république, pour symboliser le sursaut national contre l'adversité.
Sous la menace de multiples fractures qui divisent le pays jusqu'au sein du PS, François Hollande n'est pas le « roi de Bourges ». Il n'est donc ni « le Victorieux » ni « le Bien Servi », et sans « un Jacques Coeur » à l'économie, le président chef de guerre choisit d'entretenir la flamme pour devenir plus modestement le président des commémorations.
Avec le temps et les difficultés, François Hollande est-il gagné par le souvenir d'un père d'extrême droite ?
La France qui n'avance plus ressasse le passé : Le pouvoir, avec un omniprésident des cérémonies, essaie de monopoliser l'attention des électeurs au son de « la marche républicaine », de « la Marseillaise » et par les couleurs du drapeau national dont il voulait recouvrir le pays. Le socialisme est comme gagné par la fièvre nationaliste !
Son allié objectif est aujourd'hui le FN qui le soutient quand il veut faire président en voulant, sans avoir trop réfléchi, imposer la déchéance de nationalité qui serait selon l'idée socialiste étendue à tous les citoyens de la généreuse République.
Inutile et absurde sauf pour donner satisfaction aux français outragés, blessés et à la recherche de satisfactions immédiates, la mesure n'a aucune efficacité pratique contre le terrorisme. En revanche, le débat que le FN-PS monopolise détourne l'attention des besoins réels des français en apportant de nouvelles et inutiles fractures au désordre établi.
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S.O .S
Les énarques qui gouvernent la France
réfléchissent.
Ils sont, dit-on,
à la recherche d'un consensus !
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oOo
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