Grèce et Zone euro
Le retour à la raison ?
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La force des sondages ?
Contrairement au FN et au Front de gauche, en Grèce, le soutient de la politique gouvernementale est en net recul, la population, en dépit de la politique de rigueur qui lui est demandée, considère qu'il y a un risque à sortir de la zone euro.
Un sondage de dimanche fait apparaître que :
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71,9 % des Grecs voient « un accord avec les créanciers » comme la meilleure solution.
Dans le même temps :
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Le vice-Premier ministre, Ioánnis Dragasákis, inspirateur du programme de la gauche radicale, devait déclarer qu "il était urgent d'agir et qu'il y avait toujours la possibilité d'un accord début mai ou même d'ici fin avril avec les créanciers". "Il n'est de l'intérêt de personne de prolonger l'incertitude" devait-il ajouter.
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Le porte-parole de la gauche radicale indiquait quant à lui : « Nous souhaitons un compromis avec les créanciers sur les problèmes d'économie ».
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Les gouverneurs des régions grecques ont accepté de prêter un secours financier au gouvernement d'Athènes.
Mise à jour du 27/04/2015 :
- De source gouvernementale, Athènes qui vient de décider de donner un nouvel élan aux discussions avec ses créanciers, UE et FMI, remanie ses équipes de négociation.
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Après les promesses électorales révolutionnaires
l'irréalisme se dilue …
La raison l'emportera-t-elle ?
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oOo