dépense durable

  La municipalité de Roanne

aux petits soins pour ses travaux

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(réparation partielle)

Tout juste terminé, Coeur de cité, projet phare de la municipalité de Laure Déroche, nécessite régulièrement de nombreux petits soins.   venividipolitis, comme récemment, http://venividipolitis.canalblog.com/archives/2013/08/15/27839174.html  en a montré les désordres.

Mauvaise qualité oblige, l'aménagement s'inscrit aujourd'hui au titre d'un grand chantier de petites réparations. 

Comme par ailleurs un peu d'enrobé a l'avantage de boucher des trous ou de remplacer des dalles ou des pavés brisés, sur le sol en briques c'est le mortier qui vient remplacer localement les joints prévus en sable. Parfois coloré il montre une technique pour le moins inadaptée.

  

 L'effet très visuel, choquant, inesthétique, confirme le mauvais choix annoncé et l'échec de la politique du MOI-JE  entérinée par les conseillers godillots de la majorité municipale.

Par leur acceptation ils  s'inscrivent, avec une solidarité toute socialiste, dans une responsabilité collective qui pèsera très fortement sur la prochaine liste.  Pour le PS, il paraît évident que dans ces conditions elle s'annonce plutôt difficile à constituer.  Plusieurs non-renouvellements de candidature sont annoncés mais il faut être prudent eu égard au nombre de promesses déjà non tenues.

 Les bricolages entrepris pour tenter de stabiliser les ouvrages sont des solutions non durables. A ce titre ils devraient faire réfléchir la première adjointe aux finances spécialiste es dialectique en économie durable.

Le mortier ne résistera pas aux chocs physiques ni thermiques et le sable sous les pavés continuera de se déplacer sous l'effet de ses grains entraînés par l'eau qui circule sur la couche imperméable de la fondation. 

Comme constaté, le sol non stabilisé continuera de se déformer de façon aléatoire et accidentogène pour de nombreux piétons.

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A Roanne l'attractive

c'est une brique jetée

dans la mare socialiste

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oOo

Comments

[Juliette]

Chute sur le trottoir : Samedi à la pharmacie la plus proche de sa chute sur les pavés, une dame âgée allait faire soigner ses blessures. Ce phénomène est de plus en plus fréquent en centre-ville.