L'inquiétude grandit à Roanne
La municipalité prend conscience
des conséquences de ses choix
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Imposée par Laure Déroche, la fameuse brique dite de pavement, qui devait présenter toutes les qualités requises, finit par devenir un souci majeur et permanent pour la municipalité. En dépit des mises en garde et informations données, le matériau imposé s'avère négatif au regard de la pose, de l'esthétique, de la sécurité et de l'entretien coûteux.
Le système est sensible au chocs, à l'eau, au gel-dégel, aux huiles des véhicules et aux gommes à mâcher comme à la végétation qui altère les joints et la fondation par ses racines.
Dans Roanne MAGAZINE, la municipalité reconnaît tardivement sa responsabilité et son erreur quand elle publie :
"...le revêtement des rues piétonnes peut être fragilisé par le décapage haute pression... "
et considère à ce propos une " problématique ".
Les totems à chewing-gums, qui vont décorer la ville à partir du 7 juin, ne résoudront pas les inconvénients du nettoyage de la place du marché et autres emplacements de stationnement.
Les professionnels préconisent, dans le cas de la brique, une remise en état des joints après chaque lavage sous pression. A défaut, comme on le constate, la brique qui n'est plus calée bascule, se déplace, finit par ne plus être tenue et constitue un danger pour la sécurité du piéton.
venividipolitis présente en quelques photos les conséquences du choix imposé à la ville qui se dit "attractive".
- chewing-gum
- végétation
- Joints absents et briques altérées, cassées
- Déformation du sol
- Danger
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Comme les administrés, les services d'entretien sont
les otages d'un système qui s'éloigne
de l'économie durable tant vantée par la première adjointe
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